Trois jours vers la pureté

Quand j’ai fait un jeûne de jus pendant une semaine au printemps – le brillant nettoyage alcalin de Purifyne – je me souviens d’avoir pris une note mentale ferme qu’il était tellement plus doux pour le système (et plus facile à respecter) avec le temps doux et la lumière du soleil. Je me suis juré que je ne serais pas emporté par l’inévitable engouement du Nouvel An pour se désintoxiquer au cours du mois le plus dur de l’année. Pourtant, me voici à mon bureau, entamant ma deuxième journée sur le Plenish Cleanse.

Après une quantité ridicule de panettone à Noël (grâce à mon père italien, il semble que j’ai une capacité génétiquement induite à ingérer des tranches presque illimitées), sans parler des chocolats d’un niveau de raffinement moins que Rococco ( c’est-à-dire les obligatoires Cadbury’s Roses), je me sens décidément paresseux. D’où l’idée de trois jours de nettoyage Plenish.

CLIQUEZ ICI POUR VOIR BAZAAR’S 10 MEILLEURS AIDES DÉTOX DE JANVIER
< br />Qu’est-ce qui rend Plenish différent ? Le fait que les 6 jus soient si énormes pour commencer (à 500ml chacun, la taille des portions est généreuse). Je suis également très impressionné par la liste des ingrédients et par le fait que les jus sont pressés à froid pour conserver un maximum de nutriments. Plutôt que de remplir leurs bouteilles avec des fruits moins chers, Plenish se concentre sur des légumes biologiques extrêmement alcalinisants, en les mélangeant dans des concoctions avec des fruits pour équilibrer la glycémie. Je sirote actuellement un jus ‘2’ plutôt délicieux d’ananas bio, pomme, menthe et aloe vera.

Ai-je honnêtement suivi les instructions de nettoyage depuis que je l’ai commencé hier matin ? Disons simplement que j’ai un peu enfreint les règles : lors de mes petits-déjeuners d’hier et d’aujourd’hui, j’ai succombé à de la papaye et des baies (ni le Soho Hotel ni le Claridges n’ont sourcillé à ma commande, tel est l’afflux de détox ce mois-ci), et hier, les sushis au riz brun Whole Foods que j’avais achetés pour le dîner de mon mari n’ont pas fait le voyage de W1 à W11, tellement je me sentais tremblant sur le chemin du retour. Ce n’était pas que j’avais faim en soi, juste incapable de gérer le sentiment d’avoir la tête si floue.

Aujourd’hui, je suis sur une nouvelle tactique, qui consiste à boire du jus numéro six (un jus épais à base de noix lait qui est satisfaisant et sucré) en fin d’après-midi pour freiner le moment d’hypoglycémie, et je suis au ballet ce soir, alors la Belle au bois dormant sera certainement une distraction bienvenue. Surveillez cet espace pour une mise à jour jeudi…

Écrit par Sophie Forte

Laisser un commentaire